Saturday, April 28, 2007

Pomme


La pomme est le fruit du pommier et, plus particulièrement, du pommier domestique, arbre fruitier largement cultivé. L'étude de la culture des pommes constitue une partie de la pomologie (la pomologie englobant tous les fruits à pépins). La pomme est comestible et a un goût sucré ou acidulé selon les variétés.
Généralement, on distingue trois types de pommes alimentaires : les pommes à cidre, les pommes de table ou pommes à couteau et les pommes à cuire qui appartiennent à un des deux premiers types mais supportent bien la cuisson. Ces trois types sont issus de l'espèce Malus pumila qui compte plus de 20 000 variétés à travers le monde.
Plusieurs boissons sont élaborées à base de pommes, en particulier le jus de pomme sans fermentation, sucré et non alcoolisé, et le cidre produit à partir de la fermentation de ce jus.

Tuesday, April 17, 2007

Haut Moyen Âge

La Gaule connaît à partir du Ve siècle l’époque des migrations barbares, avec la présence de plusieurs peuples, notamment les Burgondes, les Wisigoths et les Francs.
Une grande partie des régions constituant la France actuelle sont réunies sous Clovis en 507 (réunion sous la domination franque, ou regnum francorum, des Alamans, des Burgondes et des Wisigoths au nord des Pyrénées). Ce « royaume des Francs » qui s’exerce sur ce que l’on appelait encore la Gaule tire sa légitimité et son unité de sa romanité culturelle. Mais il est partagé puis réuni à de multiples reprises au gré des héritages des héritiers de Clovis (dynastie des Mérovingiens). Ces royaumes ultérieurs s’appellent Neustrie (Paris), Austrasie (Metz), Bourgogne (Chalon), Aquitaine (Bordeaux).
À partir du milieu du VIIIe siècle Pépin le Bref, roi des Francs non mérovingien, étend considérablement le royaume des Francs, bientôt érigé en Empire par son fils Charlemagne et son petit-fils Louis le Pieux. Après la mort de Louis, son domaine est partagé en trois parties où l’autorité centrale s’effondre rapidement, ramenant l’organisation de la région à la situation antérieure : la Francia orientalis (à l’est), la Francia occidentalis (à l’ouest) et entre les deux l’éphémère Lotharingie, domaine d’un empereur très théorique. La partie orientale correspond à ce qui devint plus tard l’Allemagne et la partie occidentale, à la France. C’est de 842, avec les serments de Strasbourg passés entre les petits-fils de Charlemagne, que date la source la plus ancienne attestant l’usage de deux langues différentes de part et d’autre du Rhin (le tudesque et le roman). Ce texte a donc souvent été présenté comme l’acte fondateur de la France (et de l’Allemagne). Des descendants de Charlemagne — les Carolingiens — conservent une influence symbolique sur des territoires correspondant très grossièrement à la France jusqu’en 987, date à laquelle le duc Hugues Capet est élu roi des Francs.

Friday, April 13, 2007

Croyances et laïcité



Constitutionnellement, la France est un État laïc. La laïcité à la française entraîne une séparation réciproque entre les Églises et l’État, sur la base du postulat que pour que l’État respecte toutes les religions, il ne doit en reconnaître aucune, ce qui permet à plusieurs religions de cohabiter. Par principe donc, l’État français s’interdit les recensements à caractère religieux. L’une des études faisant foi dans ce domaine est celle menée tous les trois ans par l’institut CSA. Lors du sondage CSA 2006-2007[10]
, les Français se déclaraient :
-51 % catholiques (contre 67 % en 1994), mais seulement la moitié d’entre eux croient fermement en l’existence de Dieu ;
-31 % sans religion (contre 23 % en 1994) ;
-4 % musulmans (contre 2 % en 1994) ;
-3 % protestants ;
-1 % juifs ;
-10 % autres ou ne se prononcent pas.
Précisons que la majorité des croyants (toutes religions confondues) ne sont pas pratiquants.
Dans un autre sondage, réalisé par l'
IFOP en 2007 pour La Vie[11] comprenant pour seul question « De quelle religion vous sentez-vous le plus proche ? », 64 % des Français se disaient proche du catholicisme, 3 % de l'Islam, 2,1 % du Protestantisme et 0,6 % du Judaïsme. 27 % des Français se disaient proche de l'athéisme
.
Malgré cette nette diminution des croyances et en particulier du catholicisme, il reste que la religion catholique demeure la religion dominante en France et a grandement influencé sa culture (les philosophies individualistes, par exemple), ce qui lui a valu le surnom de "Fille aînée de l’Église". Même aujourd’hui, alors que l’État est laïc, le catholicisme reste particulièrement présent : on peut citer ainsi les
jours fériés qui sont, pour la plupart, des fêtes religieuses chrétiennes ou encore les écoles privées dont 9 sur 10 sont catholiques.
La France en 1885
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